Dans un domaine intégralement couvert par Android et où même par Microsoft, en dépit de son importante puissance budgétaire, Mozilla s’épuise à faire son apparition par le biais de Windows Phone. Mais quel niveau escompte atteindre Mozilla avec ses modestes ressources dans la téléphonie mobile en créant Firefox OS ?
Redirection vers les objets connectés
Malgré l’emballement des commencements, Mozilla a fini par intuitivement comprendre les limites de sa tactique. La firme l’a reconnu en publiant la cessation des smartphones par le biais de Firefox OS et une redirection des peines vers les objets connectés. Les modalités n’étaient pas existantes afin que Mozilla l’emporte sur les mobiles commerciaux. Aussi, le décret a été promulgué de répandre le prototype 2.6 de Firefox OS et ensuite de stopper tout essor ultérieur. Mozilla a statué que pour influer dans le nouveau secteur des appareils connectés, il doit entièrement centraliser son énergie à prototyper le futur et prospecter sur le fait d’impacter dans le monde des objets connectés qui est un milieu moins coercitif pour Mozilla. Concernant les Apps, le Marketplace ne tolérera plus de nouveaux assujettissements pour Android, que ce soit pour les ordinateurs de bureau et les tablettes. Tous les programmes qui n’endossent pas Firefox OS seront extraits. Les applis pour Firefox OS vont continuer d’être permises durant un temps, au minimum jusqu’en 2017.
Développeurs pas très enthousiasme
Si Mozilla opte pour l’abandon de ses dispositifs dans le smartphone afin de se redéployer vers l’internet des objets, Firefox OS pour smartphone pourrait encore subsister si la communauté est apte à le défier. Après tout, le programme dépend des bases du logiciel libre. Toutefois, cela reste à voir. D’ailleurs, les développeurs n’étaient pas intéressés pour Firefox OS même quand Mozilla s’investissait dans le développement du dispositif d’exploitation. Il fallait effectivement que Mozilla réussisse à recouvrer en quelques mois les caractéristiques d’un Android, d’un iOS ou bien d’un Windows 10 Mobile, qui nécessitent de nombreuses années pour mûrir, sans pour autant gagner les qualités d’un Google, d’un Apple ou notamment d’un Microsoft.